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N° 797 - Verseau [ZODIA] par Rico

Mes bien chers frères, mes bien chères sœurs, bienvenue dans la maison du Seigneur. Nous sommes ici regroupés dans un havre de paix, bien loin des machinations du quotidien où chacun veut diriger le monde.

Ici, mes amis, pas de compétition, pas de concurrence. Ici tout le monde s’aime, tout le monde se pardonne. Dieu est Amour et ici, dans sa maison, nous aurons toujours droit à un jour de plus au paradis.

C’est la Foi qui nous sauvera de ce monde mercantile. Grâce à Notre Seigneur, qui nous préservera de la tentation, qui nous délivrera du mal, nous n’aurons aucun mal à rester vivants.

Chantons, mes amis, chantons pour glorifier Notre Père ! Chantons nos prières ! Entonnons nos psaumes ! Fidèles, soyez assurés que le Seigneur, dans sa Grâce immense, entend nos prières ! Non, nos chants ne sont pas vains, ballotés par le hasard de courants incertains, errant tels un message dans une bouteille.

Nos prières sont écoutées par Notre Seigneur. Dans sa miséricorde, il ne nous laisse pas seul. Il est avec nous, partout, toujours. Et il nous épaule, chaque jour, dans l’adversité. Il nous tient la main et nous aime et partout où nous allons nous pouvons presque entendre sa présence comme un bourdonnement amoureux.

Je suis heureux de vous voir tous aujourd’hui. Vous êtes tous ma famille, nous sommes tous les enfants du Très Haut, dont nous chantons les louanges, réunis, ici, dans sa maison. Notre foi est notre loi et c’est par elle que nous pouvons, ensemble, partager ces moments de chants comme une prière.

Oui, Dieu nous aime. Dieu nous suit. Et nous devons partager cet amour autour de nous. Nous devons faire en sorte de transformer nos villes, nos jardins, nos rues et d’en faire des villes de l’amour, des jardins de l’amour et des rues de l’amour.

Notre Seigneur a souffert pour nous sur la Croix. Notre Seigneur s’est sacrifié pour nous. Notre Seigneur accepte encore de souffrir pour nous. Par ma voix, il vous le dit : « je souffrirai pour vous ; j’accepterai cette douleur à laquelle je suis habitué ».

Ici, dans cette chaleur que nous partageons, oublions les vicissitudes de la vie quotidienne. Oublions les mécréants et les égoïstes, qui n’envisagent la vie que comme un combat dont le vainqueur prend tout.

Je vous le dis, mes frères, mes sœurs : c’est bien ici, dans cette spiritualité qui nous relie, tous, ensemble, que nous sommes le plus heureux. Dieu nous aime. Ainsi soit-il !

(prénom nom)