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N° 682 - Qui se tue au travail ? [QUI] par Berek

Dix heures moins cinq, bon, il est temps que je me commence ma journée, moi. Alors, c’est quoi mon agenda aujourd’hui ?

Ok, rien avant deux heures moins vingt cet après-midi ? Cool ! Je vais pouvoir regarder le début de l’étape Poitiers – Baugé. C’est lors de cette étape que j’avais vu Ocaña. Ca me rappellera des souvenirs… Bon, voyons, elle commence à 11 h 34. Super, je pourrai en voir une bonne partie !

En revanche, cet après-midi, c’est la Bérézina ! Qui m’a organisé tous ces rendez-vous ? C’est tuant, ces périodes de campagne...

Bon, l’important, c’est que tout soit ok pour ma chronique de ce soir. Ah, mince, Gérard la veut avant de partir à Verdun, c'est vrai. A quelle heure il m'a dit qu'il partait, déjà, ah oui, bon, je lui envoie juste à 15 h 29, juste avant son départ, ça lui fera les pieds, faut pas délirer, non plus.

Alors… Deux heures et quart, reportage sur la visite du maire aux anciens combattants… Super, ça va encore être la grosse ambiance ! Pfff…
Bon, c’est rue de Wagram, j’y reste une heure, comme ça, à trois heures et quart tapantes, je peux aller prendre une bière avec Vincent Cassel au bar de l’Ecluse, c’est à côté. Je vais pas pouvoir y rester longtemps, c’est dommage, mais il faut que je sois au studio au moins une minute avant le début du journal de cinq heures, histoire de me montrer un peu, sinon, je vais encore me faire traiter de tire-au-flanc.

17 h, le journal commence, je me montre une minute, pas plus, juste le temps de faire quelques saluts et je bats en retraite dans mon bureau préparer ma chronique.
Après, je peux respirer. Avec un peu de chance, je peux voir le match de Monfils.


Encore une journée de boulot bien remplie ! Tiens, j’irais bien manger un petit veau Marengo au resto ce soir, moi, pour me remettre de cette journée.

(son nom en deux mots)