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Enigmes déclassées du Tournoi Interactif d'Enigmes
(Plusieurs auteurs du TIE)
Notre fin limier, le commissaire Velledagno, a finalement eu sa réponse.
Une série d'énigmes déclassées du TIE.
Naturellement, ayant connaissance de la réponse, il lui a été facile de trouver une adresse où se diriger à présent : le 16, rue Jrcz. La rue Jrcz se trouve à quelques pâtés de maison de là. Le numéro 16 est un immeuble, avec plusieurs étages (ce qui correspond généralement à la définition d'un immeuble). Bien évidemment, en grand professionnel, le commissaire ne va pas foncer tête baissée vers ce qui pourrait être un piège. Il décide donc de se mettre en planque. Il attend longtemps, longtemps... Une personne arrive, reste une bonne dizaine de secondes devant la porte. Le commissaire ne voit pas très bien de sa planque. Il s'en veut d'avoir oublié ses jumelles. Il a l'impression que cette personne discute en faisant des grands gestes. Finalement, la porte s'ouvre et la personne rentre. La porte se referme. "- Hmmm... il doit y avoir un gardien, et un mot de passe à donner...", pense le commissaire Velledagno qui a oublié d'être bête. Il attend encore. Longtemps, longtemps... Quelqu'un sort enfin de l'immeuble. Le commissaire le prend en filature. Après quelques minutes, il se décide à l'interpeller. [NB : pour plus de fluidité dans cette haletante scène d'action Derrickienne, nous vous donnons la version française du dialogue. Les puristes de la VO nous pardonneront.] "- Halte-là mon gaillard ! - Qu'est-ce que c'est ? - Je suis le commissaire Velledagno. Connaissez-vous le code pour entrer au numéro 16 de la rue Jrcz ? - Oui, bien sûr. - Quel est-il ? - "FACADE". - Bon, vous pouvez circuler." Tout content d'avoir obtenu aussi facilement ce renseignement, le commissaire Velledagno retourne rue Jrcz, bien décidé à pénétrer dans l'immeuble. Arrivé devant la porte, il se met à rire tout seul de sa méprise : le gardien n'est autre qu'un digicode. La personne qu'il avait vue faisant de grands gestes n'était pas en train de discuter, mais de taper son code. A première vue, il n'y a pas de lettre sur le cadran. Il n'y a que des chiffres, les chiffres de 0 à 9. Qu'à cela ne tienne, le commissaire, qui n'est pas la moitié d'un imbécile, utilise son traducteur électronique. Il tape le mot "FACADE", lit la traduction en Primiste puis la tape sur le digicode. Rien ne se passe. "Bon sang ! M'aurait-il menti ? Ah... mais non, bien sûr, suis-je bête..." Quel code (le bon, cette fois-ci) le commissaire Velledagno doit-il taper sur le digicode ? Vous devez vous connecter pour répondre.
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